Dossiers du SECTEUR ADSTOCK
Ayant comme objectif la protection de la qualité de l’eau du Grand lac Saint-François, l’association s’est donné comme priorité la lutte aux sédiments. La principale source de sédiments étant le Chemin des cerfs, de concert avec la municipalité d’Adstock, l’association a travaillé à améliorer le chemin et ses composantes.
Dans notre lutte aux sédiments, nous avons vite réalisé que compte tenu du type de matériel utilisé pour la surface du chemin, l’asphaltage devenait la seule avenue possible pour régler ce problème des sédiments.
Avec la collaboration de la municipalité d’Adstock, un plan des travaux d’asphaltage a été élaboré et depuis 2020 les principales voies d’accès au lac sont en asphalte.
Nous avons confié à RAPPEL le mandat d’élaborer un plan de gestion des fossés et des trappes à sédiments. Ce plan de gestion inclut le nettoyage des trappes à sédiment. Une autre source de sédiments était la qualité de l’abrasif, nous avons convaincu la municipalité d’Adstock de diminuer la quantité utilisée dans le secteur du GLSF et de changer le type d’abrasif afin d’avoir une meilleure résistance à l’effritement.
Depuis au moins 5 ans, l’association travaille à l’éradication de la renouée japonaise. Tous les propriétaires membres ont été sensibilisés à ce combat et depuis, nous avons constaté une amélioration, mais nous n’avons pas atteint notre objectif.
Notre volonté d’être la voie de communication des membres avec la municipalité et dans un souci de service aux membres, un représentant de l’association est membre du Comité consultatif de l’environnement d’Adstock. Cet engagement fait en sorte que nous sommes consultés et très impliqués dans l’élaboration de la politique environnementale d’Adstock.
L’association supporte financièrement ou avec des bénévoles des initiatives tel que : Piste de ski de fond de 8 km, la bibliothèque, la fête du voisinage en septembre et un groupe de pétanque. Nous sommes aussi partenaire de l’Association des pêcheurs du GLSF, des dons en argent sont recueillis chaque année afin de participer au projet d’ensemencement.
Roger Lamothe,